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à
côté du Château : l’avenue du Louvre
 Rappelons
que cette avenue dont nous parlions dans notre Flash n° 50 de janvier
2004 est la propriété de l’Etat. Depuis fort longtemps son
aménagement était à l’étude, non seulement
pour valoriser le château, mais aussi pour permettre aux
nombreux visiteurs français et étrangers de pouvoir en faire
le tour tout en restant dans l’enceinte du Château, chose
impossible actuellement.
Le plan que vous trouverez ci-contre est la solution préconisée
par l’architecte en chef des Monuments Historiques. 
Il se traduira par
la réduction de l’emprise actuelle de l’avenue du Louvre dont la
fragilité du sous-sol fait l’objet de soins constants et onéreux
en raison des risques d’affaissements de la voirie dus aux souterrains
plus ou moins comblés et à une forte circulation automobile.
Un passage de véhicules à définir subsistera, ne
serait-ce que pour permettre aux riverains l’accès à leur
propriété.
Cet aménagement accompagné d’un aménagement d’ensemble
de la cour d’honneur et qui a reçu l’accord du Maire, devrait prendre
forme prochainement. En tous cas nous en souhaitons vivement la concrétisation.
face au Château
: l’avenue du Gal Leclerc
 Tout
le monde peut le constater, cette avenue est devenue non seulement une
avenue garage, mais aussi une piste de vitesse pour des véhicules
souvent en transit qui ensuite prennent l’avenue Albine pour sortir du
Parc après la place Marine côté ville par l’avenue
Bergeret.
D’autres trouvent qu’au lieu d’emprunter la rue de Paris (Route Départementale
308 ) et compte tenu du goulet d’étranglement (à vie) de
cette avenue au niveau de la ZAC (Zone d’Aménagement Concertée
de l’entrée de Maisons) le gain de temps est substantiel en passant
par l’avenue du Général Leclerc et pour les plus avisés
d’emprunter même l’avenue des Graviers pour rejoindre l’avenue de
Paris.
Le circuit vient d’être encore facilité puisqu’à l’entrée
de la rue des Graviers, la ville a même supprimé le ralentisseur
que constituait l’infrastructure au sol de la porte érigée
au moment de l’ouverture du petit Parc sur la ville !
Le résultat est que les véhicules passant par la rue des
Graviers n’ont plus à ralentir et qu’ils ne s’en privent pas pour
«débouler» dans cette rue non prévue pour une
circulation devenue dense et de transit !
C’est un miracle qu’aucun accident grave ne se soit produit au carrefour
Leclerc / Graviers. On attend peut-être qu’il s’en produise un pour
agir !
Nous avions adressé une lettre au Maire à ce sujet le 20
octobre 2003- que nous tenons à votre disposition- lettre restée
sans réponse à ce jour.
Nous avons donc demandé à D. FORT de réaliser une
illustration de ce que nous proposons.
La voici :
Le revêtement des chaussée roulantes sera adapté au
caractère historique de l’environnement du château, en tous
cas il ne devrait plus permettre à certains automobilistes d’avoir
des comportements irresponsables de vitesse et inciter d’autres à
emprunter le circuit de transit normal à savoir les rues de Verdun
et de Paris (Route Départementale 308).
Cette proposition soumise au Président de l’association «
les Amis du Château de Maisons » a bien entendu reçu
son approbation puisqu’elle allait dans le sens des vœux de l’association
qu’il préside.
l’entrée
du Parc
 Notre
raisonnement est identique. Nous en parlions aussi dans notre Flash n°50.
Avec la rénovation prévue des portes elles-mêmes,
propriétés de l’ASP (Association Syndicale du Parc),
c’est celle de l’environnement complet de l’entrée du Parc qui
doit être réalisé en même temps que la reconstruction
arborée de la seconde tranche prévue en 2005, de
l’avenue EGLE entre la place du Château et l’entrée du Parc.
Le parterre fleuri, aussi sympathique et éducatif soit-il, doit
faire place à une reconstruction s’intégrant avec l’architecture
des portes, monuments historiques classés et en accord avec l’architecte
des Bâtiments de France (ABF).
Comme précédemment, nous avons demandé à D.
FORT de nous présenter une illustration de ce que nous souhaiterions.
La voici :
Ndlr : à
une interrogation faite au Maire par notre Président sur cet aménagement,
il lui a été répondu qu’il y avait « des dépenses
plus pressées… » . Pourtant quelques transferts budgétaires
de la rubrique «fêtes et cérémonies»,
l’économie des heures consacrées par la présence
des services des espaces verts de la ville plusieurs fois par an et l’achat
des plantes, compenseraient le coût de cet embellissement ponctuel…et
durable.
la
place du Marché
Supprimer quelques
80 places de stationnement sur l’avenue du Général Leclerc,
c’est bien, mais les remplacer par plus de 400 autres c’est mieux.
La place du marché est évidemment un emplacement sous-exploité,
en particulier, au niveau des possibilités de stationnement. Le
trou encore béant des constructions privées de la rue Mermoz,
réservé au stationnement privé, n’apportera aucune
solution au problème du stationnement public.
La ville de Saint-Germain-en-Laye qui manque aussi cruellement de stationnement
en centre ville, envisage la construction d’un parking en sous-sol, de
plusieurs niveaux (4 ou 5) sous la place du Marché-Neuf face à
la poste. Il faudra bien à Maisons-Laffitte se résoudre
à innover dans ce sens.
Le PIR (Parking d’Intérêt Régional ), à
côté de la gare, est saturé et nous n’avons plus aujourd’hui
d’autres places à offrir aux Mansonniens que celles du stationnement
anarchique et…de la débrouille !
Quant aux commerçants du marché, ils font stationner leurs
véhicules utilitaires un peu partout jusque dans le parc 2 fois
par semaine les jours de marché…
Chiffres à l’appui, nous avons donc de nouveau fait appel à
D. FORT qui par une autre illustration, vous montrera que notre proposition
va dans le sens de l’intérêt général et que
la plupart de ceux qui stationnent comme ils le peuvent à droite
ou à gauche, y compris avenue du Général Leclerc,
trouveront tout bénéfice à stationner plus près
de la gare (SNCF, RER).
A noter que notre proposition concerne un projet de parking sous la place
du marché (et non sous le marché lui-même) et que
l’infrastructure de surface reste aussi à repenser.
Voici cette illustration :
Ndlr :Il s’agit bien entendu d’un projet bien plus onéreux
que les projets précédents, mais d’une part nécessité
oblige et d’autre part, il faut que vous sachiez que notre ville possède
un faible endettement que d’autres villes pourraient nous envier…il vous
suffit pour cela de jeter un coup d’œil sur le budget primitif 2004 approuvé
par la majorité municipale au conseil municipal du 25 mars dernier
pour comprendre…
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